la muse*
Toi qui m'appele ta Muse
N'utiliserais-tu pas la ruse
pour que de mes jeux je t'amuse
Le soir venu dans ta cambuse
Ne soit pas inquiet rien ne m'use
Tant et si peu qu'on en abuse
la muse fait mumuse
de toutes tes idées confuses
la muse*
Toi qui m'appele ta Muse
N'utiliserais-tu pas la ruse
pour que de mes jeux je t'amuse
Le soir venu dans ta cambuse
Ne soit pas inquiet rien ne m'use
Tant et si peu qu'on en abuse
la muse fait mumuse
de toutes tes idées confuses
souplesse
Mieux que le fitness, j'arbore la souplesse
Comme la promesse d'une trêtresse
Souple comme la chatte qui paraisse
Je fais fi de la sagess
Je sens que ca t'intéresse....
les courbes de mes fesses
Mais peut être préfèrerais tu que je me renverse
Pour mieux admirer ce paysage enchanteresque....
oui tour à tour diabless ou déesse
je me cambrerais sous tes caresses
me laisserais emporter dans la douce allégresse
de l'acceptation de mes faiblesees.
Quand on me voit son mon armure
Quelle allure et quelle stature
un vrai modèle de droiture
une force de la nature
Ou bien ne suis je qu'une raclure
un animal de luxure
aui court à l'aventure ?
y a t'il un coeur son mon armure ?
il peut être pur comme l'azur
laisse moi panser tes blessures
je t'aimerai si tu me jures.....
Tes mots d'amour sont des injures
tes serments sont des parjures
Mon coeur déjà se fait plus dur
Je te mets au pied du mur
délivre moi de ma ceinture
Viens en moi peite ordure
apprends moi l'art de la luxure
Je t'aimerai si tu me jures.....
Que dans tes yeux
à jamais je resterais pure
Mon petit tam tam pour qui tu te pâme
se balance souvent sur le macadam de paname
Attendant que tu le réclame
A grand renfort de "Madame, Madame"
Sans tomber dans le psychodrame
Va chercher les bulles en géroboam
Filons le boire au hammam
Faisons nous une petit croque-madame
et sans aucune chicane
je disparaitrais devant le parvis de notre-dame
et nous redeviendrons comme tous ces quidams.
Il y a des soirs ou j'aime faire ce que je veux de toi
te porter doucement jusqu'au plaisir
mais à mon rythme, à mes délires
te torturer moralement pour mieux t'emmener au paroxisme
Te sentir tendu sous mes doigts
te sentir confondu sous mes lèvres
te sentir t'épanouir en moi
oui je voudrais jouer et jouer et jouer encore
à nos jeux interdits, à nos désirs assouvis
oui il y a des soirs ou je te veux TOI
Mon coeur n'est pas à prendre
Il est là pour te surprendre
Viens écouter son chant troublant
l'oreille collée sur ma poitrine...
Viens vibrer à son rythme sauvage
laisse toi porter par ses rivages
Ne lui demande pas de te parler
Il est muet de vérité
Il bat, Il bat et il se bat
Pour rester bien enfoui en moi
Viens me rejoindre à Venise,
Viens avec moi jouer sous les masques
Au son d'une musique baroque
Nous nous inventerons, nous redécouvrirons, nous dégusterons,
La bienséance nous ne l'inviterons pas
Nous ne laisserons que nos désirs s'exprimer
Bien dissimulés derrière nos fausses images
Lavérité sera révélée par le bout de nos doigts
Les effluves que nous respirerons
Cachons nos yeux pour mieux nous découvrir.
Crois tu que je puisse me prosterner
Devant tes attributs de mâle
Crois tu que je puisse devenir dévote
Devant cette jolie dote
Eh bien oui !!
Oh grand gourou de mes sens
Je me fourvoieraie pour toi
Je te laisserais faire ce que tu veux de moi
L'espace d'un soir, d'une nuit, ou d'un matin
Mais je repartirais, car jamais je ne t'appartiendrais
Viens sous mon chapeau
Voir s'il y fait beau
Viens sous mon chapeau
Gouter la chaleur de ma peau
Viens sous mon chapeau
Ecouter tous mes mots
Viens m'ôter mon chapeau
Mets le feu à ma peau
Viens m'arracher mon chapeau
Et marques moi de ton sceau bestial
Déchires mon chapeau
Dévore moi de tes assauts
Fais de moi la femelle qui s'abreuve au ruisseau
a
Quand à la facon d'HAMILTON
Je ne t'offre de moi q'une image floue
Histoire de réussir à te rendre fou
Je reste dans le vague
jouant avec mon écran de fumée
Mais je sait que tu n'es pas dupe
De mes petits jeux de rôles
Que ce n'est pas quand je suis nue
Que je me mets à nu.